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Phytochimie

Phytochemistry




PHYTO - © ISTE Ltd

Objectifs de la revue

Aims and scope

 

- Arrêt de la revue en 2020 -

 

Merci de télécharger les consignes de mise en page (pour les articles de Sciences Chimiques) : consignes

 

Phytochimie s’intéresse à l’analyse des métabolites secondaires des plantes, algues et champignons, à leurs micro-organismes associés, à leurs fonctions, leurs biosynthèses, leurs propriétés biologiques ainsi qu’à leurs effets pharmacologiques et/ou toxicologiques chez l’animal et l’Homme.

 

La revue publie des travaux inédits et diffuse l’ensemble des aspects d’un sujet ayant pour objectif d’approfondir la connaissance de champs disciplinaires originaux.

 

 

– Ended in 2020 –

Phytochemistry concerns the analysis of the secondary metabolites of plants, algae and fungi, their associated microorganisms, their functions, their biosynthesis, their biological properties and their pharmacological and / or toxicological effects in animals and humans.

 

Please download the layout instructions (for the Chemistry papers) : instructions

 

The journal publishes original works and disseminates all aspects of the subject that aims to deepen the knowledge of the original disciplines.

Numéros parus

2018

Volume 18- 1

Numéro 1

Derniers articles parus

Composition chimique et activités pharmacologiques des espèces tunisiennes du genre Eryngium L. (Apiaceae)
Ameni Landoulsi, Vincent Roumy, Céline Rivière, Sevser Sahpaz, Jeannette Benhamida, Thierry Hennebelle

Le genre Eryngium L. (Apiaceae, Saniculoideae) comprend plus de 250 espèces utilisées en médecine traditionnelle et comme produits comestibles à travers le monde. En Tunisie il existe seulement huit espèces : E. barrelieri Boiss. (syn. Eryngium pusillum L.), E. campestre L., E. dichotomum Desf., E. glomeratum Lam., E. ilicifolium Lam., E. maritimum L., E. tricuspidatum L. et E. triquetrum Vahl. Après une analyse de la littérature, cette revue résume les utilisations traditionnelles, les composés bioactifs et les activités pharmacologiques de ces espèces.


Spécificité de l’huile essentielle de romarin spontané (Rosmarinus officinalis L.) de Corse et de Sardaigne
Joseph Casanova, Félix Tomi

La spécificité du romarin (Rosmarinus officinalis L) de Corse et de Sardaigne est connue de longue date et l’huile essentielle (HE) qui en est extraite a été une des premières à recevoir la mention « HE chémotypée ». Elle est connue sous le vocable « HE de romarin à verbénone » et effectivement ce composé est présent dans l’HE à des teneurs appréciables, à côté de l’∝-pinène et de l’acétate de bornyle. Dans cette revue nous nous proposons de faire le point sur les diverses compositions décrites dans la littérature, en montrant que les trois composés représentatifs de l’HE du romarin Corso-Sarde sont effectivement présents dans tous les échantillons décrits mais que leurs teneurs peuvent varier de manière substantielle, que ce soient dans les HE « collectives » préparées par des professionnels ou des HE « individuelles » préparées au laboratoire. Nous terminons avec un rapide tour d’horizon des HE de romarin récolté hors de Corse et de Sardaigne et qui contiennent de la verbénone et/ou de l’acétate de bornyle en quantité appréciable.


Recherche du vrai profil phytochimique de Ferula arrigonii Bocchieri
Louis-Félix Nothias, Mauro Ballero, Andrea Maxia, Federica Pollastro, Pieter Dorrestein, Julien Paolini, Marc Litaudon, Giovanni Appendino

La guaianolide 11,13-déhydrogrilactone (2) a été décrite comme un potentiel marqueur chimiotaxonomique de l’espèce endémique Corso-Sarde Ferula arrigonii Bocchieri. Dans le présent travail, la présence de ce constituant n’a pas pu être confirmée dans des extraits obtenus à partir de plantes récoltées en Corse et en Sardaigne ainsi que de matériels végétaux issus des herbiers de référence. Le profil chimique de l’ensemble des échantillons s’est révélé relativement homogène avec une composition caractérisée par les éthers de sesquiterpène-coumarines. Nos résultats suggèrent que l’étude antérieure a probablement été réalisée à partir d’un matériel végétal issu d’un chémotype atypique rare ou bien d’une identification botanique erronée.


Activité anti‐protozoaire des huiles essentielles et de leurs constituants contre Leishmania, Plasmodium et Trypanosoma
Thanh Binh Le, Claire Beaufay, Natacha Bonneau, Marie-Paule Mingeot-Leclercq, Joëlle Quetin-Leclercq

La découverte de nouveaux composés aux structures innovantes actifs contre Leishmania, Plasmodium et Trypanosoma est primordiale pour répondre aux limites croissantes (résistance, toxicité, voie d’administration, coût,…) des médicaments actuellement disponibles et à l’absence de vaccins efficaces. Dans cette revue, nous avons répertorié les huiles essentielles et leurs constituants dont l’activité anti protozoaire a été publiée de 2013 à avril 2017. Parmi les 157 huiles essentielles et les 51 composés purs analysés, on observe que certains possèdent un potentiel antiparasitaire intéressant et sélectif in vitro voire in vivo. Dans certains cas des cibles et/ou modes d’action ont été proposés.

 


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