@ARTICLE{10.21494/ISTE.OP.2025.1272, TITLE={Modélisation géoclimatique : outils, limites et perspectives}, AUTHOR={Jérémy Bernard , Thomas Leduc , Auline Rodler , Alexandre Merville, Hiba Hamdi, }, JOURNAL={Risques urbains}, VOLUME={8}, NUMBER={Numéro 1}, YEAR={2025}, URL={https://www.openscience.fr/Modelisation-geoclimatique-outils-limites-et-perspectives}, DOI={10.21494/ISTE.OP.2025.1272}, ISSN={2516-1857}, ABSTRACT={Les outils de diagnostic du climat urbain peuvent être utiles aux autorités locales et aux villes : ils fournissent des informations pour la planification urbaine et la conception de projets de développement à différentes échelles spatiales, dans un contexte d’atténuation du changement climatique mondial et d’adaptation aux pics de chaleur localement. Dans le document suivant, nous identifions et répertorions les outils de diagnostic, en nous concentrant principalement sur les outils géoclimatiques. Ces derniers ont la particularité de nécessiter des données géomatiques et géographiques pour fournir des résultats utiles au diagnostic de la surchauffe dans les villes. Une classification de ces outils est présentée, basée sur quatre critères. Le premier critère est basé sur la manière dont le tissu urbain est pris en compte par chacun des outils : simplifié ou détaillé. Le deuxième critère est le type de résultat produit par le logiciel : il contient des quantités physiques ou des informations qualitatives (par exemple, ombre ou soleil). Le troisième critère est relatif au choix de l’approche de résolution du problème : physique ou statistique ? Le dernier critère concerne le type de physique abordé par l’outil logiciel (température de l’air, vent, rayonnement, etc.). Enfin, les outils sont triés selon cette classification et leur relation avec la géomatique est décrite plus en détail. Il apparaît que chaque outil a été développé pour un besoin particulier et d’un point de vue spécifique. Ce point de vue permettra également d’expliquer les forces, les faiblesses et les simplifications de chaque outil. Enfin, il met en évidence les domaines dans lesquels le développement de logiciels, ou même de modèles, requiert l’attention des sciences des SIG.}}