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Célia Riboulet
Université Toulouse II Jean-Jaurès
Publié le 13 janvier 2020 DOI : 10.21494/ISTE.OP.2020.0459
Cet article ouvre une réflexion sur les enjeux de la rencontre entre l’art et l’anthropologie et conjointement sur les relations qui se nouent entre la fiction et le documentaire. La réflexion s’initie dans une expérience concrète de l’ailleurs qui invite à repenser les limites de la construction des mondes, comme celles des disciplines. Deux oeuvres étudiées problématisent cette rencontre : La mangeuse de pierres (2019) de Célia Riboulet et Juegos de Herencia (2011) de Clemencia Echeverri.
This paper opens a reflection on the stakes of the encounter between art and anthropology and jointly on the relations between fiction and documentary. Reflection is initiated in a concrete experience from elsewhere that invites us to rethink the limits of the construction of worlds, such as those of disciplines. Two works studied problematize this meeting: La mangeuse de pierres (2019) by Célia Riboulet and Juegos de Herencia (2011) by Clemencia Echeverri.